Caressez le Potager vous attend, campé sur ses deux branches, l'une artistique avec ses bourgeons de culture et ses rêves d'artistes, l'autre où se développe un chapitre environnement (jardin potager, énergies renouvelables, partage de l'eau).
Trois jours à déguster le cul dans l’herbe et la tête dans les étoiles avec, entre autres et comme chaque année, une création qui prend ses racines dans une Ronde autour du « Continent Méditerranée ».
Cette année, Istanbul et d’autres points de nos rivages pour NASRUDDIN CIRCUM.
Ce sera la contribution du Festival à l’année Capitale européenne de la culture.
Coproduction MP13.
Quand, en mars, on plante les graines de ratatouille (tomate, aubergine, poivron, courgette, basilic et tutti quanti), il y a belle lurette que nos « rêves d’artistes » poussent. L’essentiel étant que tout soit mûr en juillet, au moment du Festival.
Pour sa dixième édition, Caressez le Potager a eu un beau cadeau :
Une superbe grappe de mécènes formée par une grosse douzaine d’Entreprises, toutes basées sur la vallée de l’Huveaune, désireuses de montrer leur attachement à ce territoire et leur attention pour ses habitants. Grand merci.
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La tête à l’envers. Ce qui se passe en bas se reflète en haut.
Et comme le miroir n’est pas parfaitement plane, les images se démultiplient.
C’est l’ombrière du Vieux Port. J’aime bien. Elle nous dit qu’on gagne à regarder de plusieurs façons. Bon présage pour le futur ?
Comme dit Woody Allen, « Je m’intéresse au futur depuis que j’ai décidé d’y passer le reste de ma vie ». |